mardi 23 avril 2013

Viande de boeuf


La viande du commerce ne convient pas pour l'alimentation crue.

La viande bio ne convient pas non plus:
- rien ne garantit que les animaux ne mangent pas des aliments industriels chauffés, car le cahier des charges bio n'écarte pas les dénaturations thermiques.
- les animaux consomment la plupart du temps des céréales ( qui sont très très éloignées génétiquement des céréales d'avant l'agriculture )
- les animaux peuvent consommer toutes sortes de choses artificielles, notamment des concentrés (vitamines) et des ensilages. La technique d'ensilage est une conservation de débris végétaux à l'abri de l'air, au cours de laquelle des fermentations font apparaître notamment de l'alcool et la viande des animaux qui en consomment est d'une qualité très altérée ( les bouchers même classiques remarquent les difficultés de conservation de ce type de viande ).



photo Bruno Verjus


Il faut donc acheter la viande directement à des producteurs que vous connaissaient suffisamment pour être sûr qu'ils font les choses "à l'ancienne".

C'est simple: les animaux paissent dans les champs et ne se nourrissent donc que d'herbes, ou de feuilles d'arbres. Pour les moments de creux, en hiver, le seul complément doit être du foin ( de l'herbe séchée donc ).

Et petit détail qui a son importance: les prairies doivent être naturelles, donc sans épandage d'engrais ou autres composés chimiques.

Pour que ce type d'élevage "à l'ancienne" soit possible, il faut environ un hectare par animal.

Si par exemple vous appreniez que 100 animaux sont seulement sur 10 hectares, vous pourriez être alors sûr qu'ils reçoivent des compléments ( probablement des céréales ).





Je rappelle pour mémoire que:
- l'herbe contient des quantités parfaites d'oméga 3 et 6: beaucoup d'oméga-3 et peu d'oméga-6.
( Les oméga-3 sont vitaux pour nous car ces acides gras polyinsaturés ne sont pas synthétisables par l'organisme humain. )
- les céréales sont inversées à ce niveau: peu d'oméga-3 et beaucoup d'oméga-6.



12 commentaires:

  1. Il faut environ un hectare par bovin de BONNE TERRE pouvant faire BONNE PATURE. Et bien plus pour un équivalent sauvage comme le bison.

    C'est tout le problème et il est maintenant absolument impossible de produire ou chasser de la bonne viande ou du bon poisson ou plus généralement de la "nourriture de qualité" pour 7 et plus milliards d'humains.

    Et les maladies et baisses de fertilité apparaissant pour cause de "mauvaise nourriture" ne sont qu'une des manières que la nature a à sa disposition pour commencer à rétablir l'équilibre dans une biosphère avec un de ses prédateurs en surpopulation.

    Mais attention ici encore à ne pas tomber dans la paranoïa de Burger.
    Si les céréales ou graines ne sont certainement pas une nourriture substantielle appropriée pour les ruminants elles font partie du régime ancestral des granivores comme les poules. Il n'y a très probablement pas de quoi pousser des cris de vierge effarouchée et rejeter "instinctivement" un poulet sous prétexte qu'il aurait mangé un peu de blé ou de maïs, les bêtes noires du gourou.

    Bien sûr que même les poules n'ont pas besoin de céréales cultivées si elles peuvent chercher 100% de leur nourriture sur un bout de "nature" encore suffisant. Par exemple dans (heureusement) encore beaucoup de villages d'Afrique équatoriale les poules ne reçoivent pas du tout de céréales et elles ont encore des hectares de forêt sauvage et de cultures pour chercher leur pitance. Seul travail pour les élever: les enfermer la nuit pour les protéger des prédateurs.

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  2. effectivement ! en France, les buses notamment font des ravages lorsque les poules sont en plein air.
    /
    En ce qui concerne le blé et le maïs, je n'ai pas d'infos sur des poules qui auraient reçu du blé et du maïs régulièrement mais en petite quantité.
    Je note simplement que Seignalet pointe lui aussi du doigt les céréales modernes.

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  3. Le fait que les graines cultivées ou même sauvages ne sont pas un aliment de base en général pour les humains ou les ruminants ne signifie pas du tout, erreur de raisonnement, qu'elles pose problème pour toutes les espèces.

    Certains oiseaux ou certains rongeurs se sont justement spécialisés dans leur digestion et sont donc a priori capables de les manger en quantité substantielle. Sans doute même le blé et le maïs.

    Leurs ancêtres se sont manifestement "adaptés génétiquement" à métaboliser cette partie des plantes particulièrement riche en nutriments, mais étant vitale pour la survie de ces plantes, une graine est logiquement particulièrement protégée chimiquement (par rapport au reste de la plante) pour limiter la prédation.

    Je ne me souviens pas que Seignalet a (incorrectement selon moi comme Burger et les instinctos) "diabolisé" le blé ou le maïs même dans les compléments céréaliers donnés aux poules.






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    1. je n'ai pas souvenir non plus que Seignalet ait parlé du blé et maïs en ce qui concerne l'alimentation de la volaille.
      Je sais que Burger a fait des élevages de souris pendant de nombreuses années, pour expérimenter tout un tas de diverses alimentations sur elles, mais pour la volaille je ne crois pas qu'il ait systématisé de la même façon qu'avec les souris.
      Les observations négatives qu'il a donc faites sur leur santé n'ont donc probablement pas la même valeur que celles qu'il a fait avec les souris.
      Je pense aussi qu'il déconseille blé et maïs pour la volaille en fonction des effets qu'il a observé sur lui-même et ses proches après consommation d'oeufs issus d'élevages de poules avec blé et maïs.
      Je n'ai pas d'autres infos à ce sujet.
      Mais bon, pas besoin de graines pour faire de l'élevage de poules.
      J'ai connaissance d'élevages sans aucune céréale et quasi pas de graminées. Juste des épluchures de légumes sont données en supplément.
      Mais le problème c'est qu'il faut de l'espace pour que les poules puissent s'alimenter sur une prairie assez vaste.
      En espace clos, c'est pas possible.

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    2. Je suis toujours aussi surpris par le crédit excessif selon moi qui est accordé par les instinctos aux "expériences" de Burger et surtout aux conclusions spectaculaires et à l'emporte-pièce qu'il en tire.

      Expériences jamais publiées nulle part, dont toutes les notes originales ont même été "perdues" selon le gourou lui-même et surtout expériences jamais répliquées par qui que ce soit ce qui devrait pour le moins inciter à la plus grande prudence et méfiance.

      Un exemple similaire est celui de ses "expériences" avec le lait qui là encore ne prouvent hélas pas grand chose selon moi sinon qu'un gourmand invétéré se surcharge assez facilement en mangeant un aliment aussi riche et concentré que des laitages jusqu'à "l"arrêt (soi-disant) instinctif"; lol.

      Là encore j'ai vu les Masaïs en Afrique, dont le lait d'animaux rustiques 100% à l'herbe constitue un élément important de leur alimentation, être en incomparablement meilleure forme ou faire preuve d'une incomparablement meilleure vitalité et résistance que tous les instinctos que j'ai jamais croisés. Idem pour les Mongols.

      Voilà de belles vraies expériences à grande échelle que la Nature a déjà faites sur notre espèce depuis des siècles ou millénaires et (bien que là où je vis il n'y a pas de lait et le problème ne me concerne donc pas personnellement) j'ai tendance, pardonnez moi, à accorder infiniment plus de poids à ces expériences-là qu'a celles d'un certain Burger.

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    3. oui j'ai bien compris vos sentiments pour Mr Burger !
      Mais chacun à sa perception de l'homme. Pour moi c'est un homme sans autorité, qui se laissait marcher sur les pieds par tout le monde.
      Pour d'autres, comme vous, c'est un gourou manipulateur...
      /
      En ce qui concerne les instinctos que vous avez croisés, vous savez comme moi que souvent il s'agit de personne qui étaient déjà vieilles, ou bien complètement déglinguées avant le cru, et qui ont choisi cette voie pour survivre ou tenter de changer leur destin.
      Rares sont les personnes qui sont bien dans leur peau et qui se mettent ensuite à pratiquer le cru.
      En général, les gens bien dans leur peau, ont une vie relationnelle bien établie et qui leur pose problème pour se mettre au cru.
      Pour être complètement crudivore, il faut accepter d'être au moins d'une certaine manière marginal.
      Au minimum, il faut accepter d'être à table avec les autres et de ne pas manger comme eux, donc de se différencier.
      Les quelques personnes que je trouvais pas trop mal dans leurs baskets - à la base - et qui ont ensuite fait le cru, ont arrêté pour cause de non-convivialité.
      Moi j'ai rencontré pas mal de crudivores qui sont de vieilles personnes qui étaient en difficulté de santé avant le cru.
      Et il y a pas mal de crudivores qui étaient de toute façon des marginaux ou des fêlés complets.
      ( d'ailleurs avec le temps et le cru, ça semble régler certains cas psychiatriques tout de même )
      Quand aux autres, ils mangent des quantités hallucinantes de victuailles, ont un problème de surcharge clair, etc...
      En plus, on sait jamais trop ce qu'ils mangent exactement et la qualité des aliments qu'ils mangent.
      Font-ils des exceptions ?
      Mangent-ils des produits chauffés ou des produits animaux qui ont eux-même mangé cuits ? etc...

      Bref, c'est bien facile de montrer du doigt les crudivores pour démontrer que le cru c'est nul.

      Par contre, j'ai l'impression que le cru améliore les choses.

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    4. Vous vous égarez complètement puisque je ne vois pas du tout où je prétends que le "cru serait nul" ni même où j'aurais critiqué Burger en tant qu'homme dans mon commentaire plus haut.

      Ce que je prétends c'est que l'INSTINCTO ne peut pas marcher parce que toute une série de points dans les raisonnements ou "expériences" ou faits sur lesquels s'appuie Burger sont manifestement faux et j'ai donné des arguments très très sérieux sur le FOND et non simplement contre l'homme.

      Et ce qui "est bien facile" dans cette affaire ce n'est pas plutôt de les ignorer, mes arguments, et préférer balayer tout ça sous le tapis de mes (mauvais) "sentiments" envers Burger ?

      Libre à vous bien sûr c'est votre blog et je vous remercie d'autant plus d'avoir publié mes commentaires jusqu'ici et je ne vais pas vous importuner encore bien longtemps de toute façon puisque je dois repartir et je vais bientôt ne plus avoir accès à internet.

      Une dernière réponse donc:

      Il y a eu tout un groupe de jeunes sans problèmes de santé à l'origine à Montramé qui ont pratiqué l'instincto dans les meilleures conditions possibles selon les critères du gourou lui-même et qui se sont retrouvés avec des gros problèmes au bout d'un certain nombre d'années.

      Rien que cela et le nombre ridiculement faible de soi-disants encore pratiquants au long cours restant après plus de 40 ans devrait tout de même vous interpeller ne fût-ce qu'un peu.

      Là encore ce qui "est bien facile" ce n'est pas plutôt, comme le fait systématiquement le gourou, balayer tout ça sous le tapis de la mauvaise pratique, de la marginalisation, de la stigmatisation sociale etc..je vous laisse remplir vous-même vous avez plus l'habitude que moi... ?



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    5. Vous savez, il suffit que vous parliez de Mr Burger comme un gourou pour que j'y perçoive une critique !
      C'est vrai que dans la tradition indienne, le gourou est un personnage positif et utile, mais chez nous, c'est vraiment très peu flatteur comme qualificatif...
      Voilà pourquoi je vous ai présenté ce que je connaissais de l'homme.
      /
      Effectivement, vous avez des arguments sur le fond. Mais en fait je n'avais pas vraiment perçu que pour vous l'instincto ne "marche pas".
      D'ailleurs, cette idée que "ça ne marche pas", est intéressante, mais serait à préciser.
      Elle peut être interprétée de diverses manières.
      /
      Ce que vous dites sur ce groupe de jeunes à Montramé m'intrigue.
      J'ai été en contact régulier avec eux avant leur départ de Montramé ( pas depuis ), et je n'ai jamais eu connaissance de problèmes de santé.
      Ce qui est d'ailleurs suprenant vu la boulimie extrême dans laquelle certains se trouvaient.
      /
      Cela ne me surprend vraiment pas que peu de gens puissent pratiquer sur le long terme ce type d'alimentation.
      Il y a vraiment toute une série d'obstacles dont j'ai parlé d'ailleurs dans ce blog ( menu de droite "échec de l'instincto" ).
      /
      Vous savez, vous ne m'importunez pas du tout. Au contraire, je trouve stimulant de discuter avec quelqu'un qui connaît vraiment le sujet ( ce qui est fort rare ).
      Et je vous souhaite un bon séjour où que vous alliez.

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  4. suite:
    Mais c'est sûr que quand on part de très bas, même si la situation s'améliore, elle n'est pas pour autant encore fameuse.

    Moi quand j'étais jeune, j'étais en enfer. A deux doigts de l'asile psychiatrique ( apparemment mon système nerveux a été très perturbé par le cannabis ).
    Chaque seconde qui passait était une souffrance psychique épouvantable. Et ça durait. Ca durait. Des heures. Qui faisaient des jours. Qui faisaient des semaines. Puis des mois. Puis des années. Le cauchemar pendant 5 ans. Une vraie torture. J'ai réussi à stopper le cannabis pendant deux ans, mais ça n'a absolument rien amélioré. Et j'ai recommencé à fumer, car c'était les seuls moments qui me soulageaient.
    Puis quand j'ai débuté le cru, vers 25 ans, ça m'a amélioré nettement. Par exemple au niveau du sommeil. Mais il a fallu 5 à 10 ans pour que ma vie devienne à peu près "neutre". Que je ne souffre plus.
    Il n'y a pas eu de miracle pour moi.
    (Faut dire que je continuais la fumette aussi...)
    Mais si je compare ce que ce que je suis aujourd'hui avec qui j'étais dans ma jeunesse, intérieurement c'est le jour et la nuit.
    Mes proches l'ont remarqué aussi.
    Mais pour qui ne me connaît pas et n'a pas suivi mon parcours, je ne donne en rien envie de pratiquer le cru !
    Tout est une question de relativité.
    Peut-être que nos amis africains, si ils mangeaient crus, en sus d'être des hommes magnifiques, éviteraient de surcroît de se découper avec des machettes, de maintenir des dictatures sanglantes, et autres joyeusetés.
    Et puis il y a le facteur temps aussi, qui est très important.
    Après l'arrêt du cannabis, il m'a fallu plusieurs années pour que mon corps nettoie le plus gros.
    Et aujourd'hui encore, 13 ans plus tard, j'ai encore parfois de légères sensations d'ivresse cannabique, ce qui signifie probablement que j'ai encore du cannabis dans mon organisme, et d'ailleurs je n'ai pas recouvré la totalité de ma puissance intellectuelle ( mais quasi maintenant, notamment je n'avais presque plus de mémoire et maintenant c'est presque ok ).
    Tout est long. Très long.
    Enfin pour moi.
    Apparemment Guyaux a eu une rémission éclair de sa sclérose en plaque.
    ( mais des rechutes tout aussi éclair en cas de retour au cuit ).
    Et puis il y a Jean-Marie, le fils du "gourou" !
    Un mec décontracté du slip, beau gosse, rieur, bien dans sa peau, qui se balade l'hiver en France en tong et tee-shirt, et qui m'impressionne par sa joie de vivre.

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  5. suite et fin:
    En réalité, je suis tout à fait persuadé, vu votre intelligence, qui si un jour vous décidiez de soutenir le cru intégral, vous trouveriez autant d'arguments pour sa défense que vous en trouver pour sa critique.
    Je vous imagine tout aussi bien en ardent défenseur que l'inverse. C'est égal.
    Je ne crois pas à la rigueur scientifique.
    On prouve tout et son contraire.
    L'amiante n'est pas un danger pour la santé publique.
    La nicotine ne rend pas dépendant ( des armées de scientifiques payés par les cigarettiers l'ont soutenu ).
    etc...
    Donc même si Burger avait pu sauvegarder ces années d'expériences sur les souris, ça ne changerait rien.
    De toutes façons, même si il avait pu vous fournir des documents solides, avec les protocoles clairement détaillés et tous les résultats statistiques sur des années avec les observations sur les différentes générations de souris, tout cela vous aurait laissé sceptique.
    Méfiance.
    Moi je n'ai jamais vu de raison de ne pas lui faire confiance. Au contraire. Pour moi tous les signaux étaient au vert.
    Il n'avait pas de privilège.
    Il circulait en jean, baskett et vieux chandail ( excepté pour les stages ). Il était avec les autres. Sans signe de distinction. Il claquait son fric, son temps et son énergie, à maintenir les activités d'Orkos. Il bossait tout le temps. Il n'avait aucune influence sur le comportement des autres. Il vivait dans une piaule de 8 m2 (comme ça la prison n'a pas du lui faire trop de différence ! ! ). Il prêtait sa caisse à tout le monde. Et mille détails qui étaient pour moi de bons indicateurs.
    Des gens manipulateurs, cinglés, menteurs, hypocrites, mal intentionnés, belliqueux, sournois, aimant le pouvoir et le prenant, j'en ai côtoyé. Franchement ce Burger que vous haïssez, il est complètement inoffensif.
    Son talent est d'avoir pu présenter une théorie compréhensible par tout le monde ( qui veut bien l'écouter ), qui provoque parfois des prises de concsience, et qui m'a permis à moi et d'autres, d'envisager de nouvelles perspectives et de faire des expériences inédites.
    Je trouve moi aussi que la théorie de Mr Burger est trop simpliste et reflète mal la complexité du réel.
    Surtout en ce qui concerne les difficultés à pratiquer, qui sont très peu abordées dans le bouquin ( ah le bouquin, c'est l'appât ! après on se ruine et on déchante ! arggh ! - non je plaisante, il aborde les difficultés, notamment la boulimie, mais pendant les stages... )
    Mais quoiqu'il en soit, la théorie fournit vraiment un axe très riche de réflexion et d'expérimentation.
    Vous pourriez, si vous le vouliez, compléter vous-même la théorie, et voir qu'elle reste cohérente même en l'amenant vers une strate de complexité supérieure.
    Par exemple: on peut imaginer que manger un peu cuit soit ok pour vous. Et pas du tout pour moi.
    Je suis tout à fait certain que vous pourriez trouver des arguments pour le prouver.

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    1. C'est étonnant, je croyais avoir précisé ici que j'ai mangé cru et oaléo INTEGRAL pendant près de 15 ans pour voir et que je parle donc (au moins un petit peu ? ) en connaissance de cause.

      Mais peu importe je ne discute pas le fait que étant donné votre parcours (qui m'inspire compassion et empathie) Burger vous a changé la vie. Ni d'ailleurs que j'ai moi-même beaucoup appris en découvrant son instincto il y a bien longtemps maintenant mais, permettez-moi d'ajouter, ensuite surtout en passant à la critique scientifique ses "théories". Cela m'a permis de m'intéresser à ces problèmes et je considère que l'expérience instincto en général aura été très intéressante et utile !

      Comme déjà dit, je ne veux plus discuter de l'homme lui-même que vous vous sentez obligé de défendre alors que je n'en ai même pas parlé. Si ma motivation était simplement une affaire d'animosité personnelle ne devrais-je pas rebondir avec délectation pour tenter de "salir" l'avenant portrait que vous en faites plutôt que de m'embêter avec le fond ?

      Vous ne croyez pas à la science, moi si, plus que jamais. Mais les hommes ne sont et ne seront jamais que des hommes et je peux comprendre votre désillusion.

      Je vous souhaite bonne chance, avec confiance car vous avez fait preuve d'une remarquable ouverture d'esprit en me permettant de m'exprimer de façon aussi critique sur votre blog.

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    2. You're wellcome.
      Rien de tel que des points de vue différents pour explorer les choses plus à fond !

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